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21 janvier 2010 4 21 /01 /janvier /2010 20:22

faki.pngHisseine Fasher : Diplomate tchadien, soudanais de nationalité et persona non grata en Belgique où il réside encore clandestinement.

 

De source concordante et après une enquête minutieuse faite par nos correspondants, un soudanais Zakhawa comme il en existe plusieurs dans l’administration tchadienne fait du zèle. L’individu dont nous vous racontons le cursus aujourd’hui, travaille pour l’ANS, police politique du régime qui sévit brutalement au Tchad. Du haut de son autorité, il use de son privilège  pour traquer des cadres, hommes d’affaires, commerçants tchadiens et asseoir une légitimité professionnelle.

 

En 1990, le MPS ni or, ni argent, parti d’Idriss Débyfole arrive au pouvoir avec dans ses rangs un nombre incalculable de Zakhawa soudanais, qui aussitôt occupèrent des postes dans l’administration tchadienne en lieu et place des cadres tchadiens pourtant reconnus des compétences.

 

Monsieur Hisseine Fachir qu’il convient d’appeler ainsi, vendait des natrons à El-Djineïna avant qu’il ne fasse partie d’une expédition qui finit son aventure à N’djamèna. Repus d’un mercenariat sans vergogne et d’une audace propre aux malfrats de compétence notoire, le dit sieur s’agrippe aux wagons Daoussa Débyfole, et en fait une rampe de lancement de carrière.

 

L’individu est chargé des basses besognes, et rend des services de nature nauséabonde. Il est utilisé comme informateur des organes de renseignements, puis devient les yeux et les oreilles de Daoussa.

 

Pour lui, et de toutes les informations émises, tout tchadien est un adversaire ou pire, un ennemi. Depuis lors commence pour sa lubie la traque de toute personne de nationalité tchadienne, qui ne sied plus à son humeur. L’ex-marchand de natrons est devenu depuis longtemps l’homme de paille du clan, tout rapport est envoyé à sa hiérarchie avec copie pour le protecteur zélé qu’est Daoussa. Sa première promotion fut une affectation comme diplomate à El-djineïna. La déprime de l’homme est souvent accrochée aux néons des complexes. Le vendeur de natrons voulait venir sévir dans la ville qui l’a vue nain. Il y vécu salement, trainant les malversations les plus abjectes.

 

Pendant les évènements de Gninguilim dans le Ouaddaï géographique, le dit Hisseine Fachir était vice-consul général du Tchad à El-Djineïna. Son responsable consulaire était Mr Adoum Ali  alias “ dents dorées“ cadre du ministère des affaires étrangères du Tchad.  Hisseine Fachir avait monté un sale coup en accusant Mr Adoum Ali de sympathisant d’une rébellion Ouaddaïenne et le fit dégager de son poste par l’influence de l’incontournable Daoussa.

 

Rattrapé par ses déboires multiformes, il fut rappelé au Tchad et devint pendant un moment de flottement conducteur des bus de transport sur l’axe centre ville de N’djamèna vers Farcha. 06 mois plus tard, il atterrit comme chef d’agence tchadien au BNF (bureau national de fret) à N’gaoundéré au Cameroun. Il fut démis de ses fonctions à causes de graves malversations financières.

 

Après plusieurs mois de loyaux services autant bas et effrités, Hisseine Fachir atterrit à l’ambassade du Tchad en Belgique avec siège Bruxelles. Le titre de 1er secrétaire lui accorde le panache du vice et l’envie de casse.

 

Du haut de son étrier, il fomente encore et encore des coups bas à tous les diplomates en postes. Il réussit à faire partir de leurs postes des ambassadeurs, et fait des rapports incendiaires sur tout tchadien quel qu’il soit de passage par la Belgique. Ismaël, Haroun, Imam et Boloki, eurent leurs noms accrochés tel des trophées. Il dit tout haut qu’il aura la tête de l’ambassadeur actuel, Maïtine Djoumbé.

 

Mais, comme tout individu lugubre, chasser le naturel fini par revenir au galop. Se sachant intouchable, Hisseine Fachir fait venir plusieurs personnes du Tchad, du Cameroun et de la Centrafrique avec des passeports diplomatiques, et les fait entrer en Belgique pour demander l’asile politique. Ce commerce ô combien de fois lucratif. Un commerce comme au temps de la traite négrière, lui rapporta autant de milliers d’euros.

 

Durant plusieurs années, l’individu s’adonna à ce commerce sordide jusqu’au jour où il fût démasquer par les autorités Belges qui lui demande de quitter leur territoire. Le ministère des affaires étrangères Belge fait notifier aux autorités de la chancellerie tchadienne le bien fondé de leur enquête.

 

Une note émanant des services Belge que tchadanthropus-tribune s’est octroyé vient confirmer cet état de fait, qui salit l’image du Tchad, et met à nu la compétence de certains cadres exerçant dans les différentes ambassades de la république du Tchad sous Idriss Débyfole.

 

Moussa Faki où es-tu?

Le Tchadanthrope.


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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 18:25
t_178589.JPGLe maire de N'Djamena et un de ses adjoints ont été inculpés pour "faux et usage de faux" et incarcérés mardi, au lendemain de leur interpellation suite à une plainte sur des malversations présumées, a annoncé une source judiciaire.

Les mains sales du maire Bada

Le maire Mahamat Zene Bada, et son deuxième adjoint, Annour Djibrine, "ont été présentés ce (mardi) matin au procureur de la République" de N'Djamena, puis envoyés chez un juge d'instruction "qui les a inculpés pour faux et usage de faux et mis sous mandat de dépôt", a expliqué cette source ayant requis l'anonymat. Ils ont été conduits à la prison civile de N'Djamena, a-t-elle dit.


Les deux hommes avaient été interpellés lundi et placés en garde à vue à la suite d'une plainte déposée contre eux le 7 janvier au Parquet de N'Djamena par le ministère délégué à la présidence chargé du contrôle d'Etat, selon des sources policière et municipales.

Ce ministère effectue depuis fin octobre dans les services publics une mission qui a déjà conduit à l'arrestation d'une dizaine de responsables municipaux, avait expliqué la source municipale.

Selon elle, il est reproché à ces agents d'être impliqués dans des dépenses pour le compte de la mairie auprès d'entreprises fictives pour environ trois milliards de FCFA (près de 4,6 millions d'euros).
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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 17:57
L'Union Africaine, abonnée absente en Haïti. Curieuse Union Africaine!
Agences/LT

La nourriture distribuée à Port-au-Prince ne suffit pas pour faire face aux besoins des sinistrés (AFP)

Haiti-aide--227x170.jpg Plongés dans le chaos, des centaines de milliers d’Haïtiens désespérés, en colère et affamés attendaient toujours dimanche l’aide internationale qui peine à leur parvenir alors que l’étendue des dégâts du séisme hors de la capitale commence seulement à être connue.

Cinq jours après un séisme dévastateur de magnitude 7 qui aurait fait entre 40 000 et 50 000 morts selon l’OMS ­ le pire désastre naturel auquel l’ONU ait été confrontée de son histoire, les secours parviennent dans l’île caraïbe mais ont du mal à être distribués en raison d’une logistique chaotique.

Un journaliste de l’AFP a assisté samedi au largage par un hélicoptère américain d’une demi-douzaine de petits cartons de rations alimentaires dans un stade de Port-au-Prince rempli d’Haïtiens affamés. Certains brandissaient une machette pour défendre cette manne providentielle. L’hélicoptère est aussitôt reparti, au grand dam des sinistrés. «Je pensais qu’ils viendraient vraiment nous aider», se désolait un père de famille.

haiti-4-a-man-clean-himself-as-he-walks-at-a-destroyed-streManifestations

Les hélicoptères américains ont accéléré la cadence de distribution de l’aide à Port-au-Prince, mais cela ne suffit pas à calmer la population qui continue à dévaliser les magasins, alors que les secours commencent seulement à arriver dans les autres villes dévastées.

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A la sortie de Port-au-Prince, une barricade formée de pneus en feu, de débris et d’au moins quatre cadavres bloquait la route de la ville de Carrefour, où des habitants en colère manifestaient pour exiger le retrait de piles de cadavres en décomposition.

Les secours commencent à mettre cap vers le sud-ouest de la capitale, vers l’épicentre du séisme. Un premier convoi d’aide est arrivé samedi à Léogâne, ville de 134.000 personnes, à 17 km de Port-au-Prince. Des villas coloniales à l’église, en passant par les petites cabanes de plage, plus rien ou presque n’est debout. 90% des bâtiments y ont été détruits, selon l’ONU. «C’est une petite distribution qui n’est pas du tout digne et qui ne correspond pas à la catastrophe que nous avons vécue», enrage Maxime Dumont, 49 ans. Carrefour, une ville de 334.000 habitants, est à moitié détruite, tout comme Jacmel, a ajouté l’ONU.

ActNOw--469x239Les difficultés de coordination de l’aide humanitaire en provenance du monde entier ont suscité des critiques sur l’organisation des secours et du ravitaillement des sinistrés. D’importants problèmes de sécurité se posent également en raison des pillages auxquels se livrent malfaiteurs et sinistrés. «Les distributions s’améliorent mais elles restent très compliquées et très lentes», a reconnu Elisabeth Byrs, porte-parole d’Ocha (Bureau de coordination des affaires humanitaires).

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16 janvier 2010 6 16 /01 /janvier /2010 22:30
fond-ecran-saut-de-gazelle.jpgAu Tchad, sous les étoiles!
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14 janvier 2010 4 14 /01 /janvier /2010 18:50
81782771Coincé sous des tonnes de gravas et de dalles
Portrait d’une capitale de 2 millions d’habitants, agitée et inspirante, dont des pans entiers ont été rasés par le séisme

C’est une ville comme suspendue, adossée à des montagnes sur lesquelles une partie de l’élite haïtienne s’est installée. Deux millions d’habitants, pour un pays qui en compte probablement huit. Et une densité de population telle qu’elle explique en partie l’étendue des dommages causés par ce séisme, le plus violent depuis 200 ans. Port-au-Prince, souvent représenté par ses bidonvilles de Cité Soleil et de Bel-Air, n’est pas seulement le ghetto miséreux que l’on se figure. Mais, jusqu’à ce tremblement de terre qui en a réduit de larges portions en poussière, la capitale haïtienne était aussi ce mélange de flamboyance créole et de contradictions insulaires dont les grands écrivains caraïbes ont chanté la séduction – Dany Laferrière, notamment, en séjour haïtien pour le tournage d’un documentaire et qui a survécu à la catastrophe.

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La Maison Blanche, version Haïtienne, après le tremblement de terre

Sur le bord de la baie, dans la basse ville, le Palais National était jusqu’à mardi après-midi une sorte de fierté collective. Une immense bâtisse immaculée, dans une cité où tout se salit; maison d’Etat baroque, presque cubaine, depuis laquelle François Duvalier puis son fils conduisaient une population où chacun, tour à tour, était en charge du nettoyage public. On a vu ensuite Jean-Bertrand Aristide, prêtre défroqué, donner là ses ultimes conférences de presse avant d’être renvoyé manu militari sous d’autres cieux. C’était en 2004, l’année du bicentennaire de l’Indépendance haïtienne. Depuis lors, René Préval, ancien aristidien plus ou moins repenti, a repris le pays. Et il a survécu à l’affaissement du bâtiment, effondré sur ses bases. Le symbole est grand, sur cette place nommée Champs-de-Mars dont les statues des héros haïtiens (Toussaint Louverture, Henri Christophe, Jean-Jacques Dessalines) devisent. Les principaux ministères qui encerclent la place semblent avoir eux aussi connu d’irréversibles dommages.

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La tragedie du Roi Christophe

Tout au sommet, à une heure de route de là, sans compter des embouteillages qui ont fait la réputation de Port-au-Prince, il existe un point de vue duquel on embrasse la baie entière. Il s’appelle Boutillier. Une vidéo a été publiée hier sur Internet d’une jeune fille qui pointe du doigt la ville, prise dans un gigantesque nuage de poussière; quelques minutes après la première secousse. «C’est un incendie, dit-elle. La fin du monde est arrivée.» Entre ces deux pôles qui dessinent cette ville ascensionnelle, l’étendue des destructions reste encore à imaginer. Sur les contreforts altiers de Pétionville, là où la bourgeoisie haïtienne s’était bâti des demeures bétonnées et grillagées face aux colliers de maisonnettes pauvres accrochées à la falaise, la dévastation est moins grande que dans la basse ville. Mais les bâtiments à étages, souvent construits à moindres frais, n’ont pour la plupart pas survécu; en 2008, déjà, une école de Pétionville avait enseveli, sans aucune raison géologique, près de 90 enfants. Mardi, le Montana, perché sur une colline, fleuron de l’industrie hôtelière haïtienne, aurait disparu avec ses quelque 200 clients.

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Un drame humain qui émeut les consciences humaines

Il faut s’imaginer cela. Une cité étriquée, pointillée de maisons individuelles, qui souffrent à peine les cyclones raisonnables qui soufflent l’été sur Port-au-Prince. Presque aucun plan urbanistique. La débandade de l’émigration rurale qui échoue dans les eaux marécageuses de Cité Soleil, ou dans ce quartier de Carrefour-Feuilles qui, selon certains témoignages, a été terriblement affecté. «La ville est majoritairement détruite», a annoncé l’épouse du président Préval. Au plus proche de l’épicentre, dans la zone suroccupée de Carrefour ou dans les abords labyrinthiques de la Grand-Rue, la fragilité des constructions, l’encombrement des rues d’accès, ont forcément aggravé un bilan des victimes qu’on n’ose estimer encore. «Mes parents ont eu vingt secondes pour déguerpir avant que leur petite villa s’évapore», précise Erol qui a finalement réussi à joindre sa famille après une dizaine d’heures de tentatives. C’est le temps qui manquait. Dans un pays parmi les plus pauvres du monde, où il s’agit depuis toujours de courir pour survivre.

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Le désespoir de tout un peuple étalé dans un stade de Foot ball!

Port-au-Prince a un doux nom. Qui évoque des conquêtes napoléoniennes, l’appétit des flibustiers et la mémoire d’un pays qui se trouve ne pas seulement appartenir aux tréfonds des statistiques de développement. Port-au-Prince était ce lieu de résistance, berceau de la première république noire de l’histoire, dont les habitants ne se voyaient pas seulement comme des laissés-pour-compte. Port-au-Prince supportait à la fois le drame d’un pays caraïbe dont la déforestation, la misère endémique, la violence des éléments et les déséquilibres politiques en font un contre-exemple mondial. Mais la capitale, paradoxalement, demeurait ce lieu de fascination culturelle, d’inventivité formelle et de religions partagées qui a donné naissance dans les départements français voisins au concept même de créolité. Depuis André Malraux et André Breton, jusqu’à ses jeunes artistes internationaux qui quittaient il y a quelques semaines, transis, la première Biennale d’art haïtienne, Port-au-Prince n’a cessé d’incarner aux yeux des penseurs un modèle de subversion créative.

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L'ultime préoccupation!

Il faut aujourd’hui parler de cette cité au passé. Même si, bien entendu, elle renaîtra. Le visage qu’elle prendra, dans les mois à venir, aura forcément la couleur du drame. «Un tremblement de terre vient de détruire mon enfance», nous écrivait hier une lectrice du Temps d’origine haïtienne.

 

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12 janvier 2010 2 12 /01 /janvier /2010 12:57

26a78f0c415782057ed01f0a3b1e3302full.jpgCommentaire laissé par : INCHA aujourd'hui mardi 12 janvier 2010 à 11h05 sur le Blog du RDPL

Email : tangar@hotmail.fr    
IP : 93.1.209.151

Michelot Yogogombaye ! Quand on parcourt ton site, on voit un mélange de tout et de n'importe quoi : une belle photo de Nelson Mandela, parfois tu parles de Thomas Sankara, lUMUMBA, puis tu soutiens hissein habré, dadis camara, etc. C'est scandaleux tout ça. Tu mélanges des pièces d'or ou de diamant avec du cacas. Le cacas c'est ton hissein habré que tu soutiens aveuglement et dadis camara. Tu paieras très cher ce soutien, un jour, si je tombe devant toi : un bon coup de tête, je te fracture le nez et je t'envoie au bloc opératoire. Certaines personnes te souhaitent la mort. Moi, je ne te souhaite pas la mort parce qu'il faut que tu vives pour payer

=======================================

Réponse de Michelot Yogogombaye

Premièrement: ce n’est pas en te faisant appeler tantôt INCHA, tantôt « BELELOUMEUL » en cachette, derrière un écran d’ordinateur que tu te rendras service, à toi-même et à ton pays.         

Deuxièmement: ne te ridiculise pas en proclamant inlassablement : « je suis ngambaye », « je suis ngambaye ». Quel intérêt as-tu à vouloir être coûte que coûte « ngambaï » ? Sois fier de ce que tu es tout en étant tchadien et  ça suffira amplement pour ton bonheur et le bonheur de tous les tchadiens! Donc, contente-toi, d'être toi même tout en étant tchadien! C'est ce que j'attends de toi et ton pays aussi attend cela de toi. Ce n'est pas absolument nécessaire d'être ngambaye!

Troisièmement: Il me semble que, comme la plus part de tchadiens, tu sois né d’une braise ! Je suppose que tu es le fils d'une braise! Pourquoi tu tiens à tout prix à t'éteindre ainsi  et à devenir charbon ? Quel gâchis !

Quatrièmement, enfin: Il te faut beaucoup plus que cela, il te faut de l’artillerie lourde pour déstabiliser Yogogombaye, autrement ce sera de l’espoir perdu pour toi même et pour ceux qui fondent leur espoir en toi ! Saches que jamais, au grand jamais Caïn ne tuera  Abel une seconde fois !

En ce qui me concerne, ceci est ma première et ma dernière réponse à tes beaux conseils. Car j'ai plein d'autres chats à fouetter. Je n’ai vraiment de temps à perdre.    

Bonne chance!

Michelot Yogogombaye

 

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7 janvier 2010 4 07 /01 /janvier /2010 15:49
3168_1092465719572_1464412242_30412253_4450139_n.jpgA vous tous qui souhaitez ma mort tout le long d l’année 2009; Vous qui me haïssez et m'insultez anonymement; A vous que ma disparition serait une occasion de festin attendu;
Mes chers compatriotes
Où que vous soyez en cette terre, mystère de la création de Dieu, recevez pour vous-même ainsi que pour votre chère famille, la Grâce et la bénédiction de Dieu dans son Amour. Que la Paix et la Grâce de Allah descendent sur vous en quel que lieu de cette terre où nous sommes tous de passage.
Je ne suis pas encore mort... mais rassurez-vous, c'est pour bientôt! Car dès qu'un homme naît, il est assez vieux pour mourir. Je suis un homme, né il ya maintenant 50 printemps et trois mois passés. Donc je suis mortel. Je mourrai certainement, peut-être même déjà !
En attendant, j'étais en déplacement en Afrique si bien que je n'ai pas pu vous présenter mes vœux pour l’année 2010. Aïe, erreur fatale que j’aimerais corriger maintenant! Aussi, permettez-moi de vous adresser, ici, tardivement, mes vœux les meilleurs de santé vigoureuse, de prospérité toujours croissante, de longévité incalculable, d'amour véritable, et de bonheur immense... Et si, vous le voulez, d’imagination en insultes !

Continuez de m’insulter et à souhaiter ma mort, moi, cette vilaine créature de Michelot Yogogombaye que je suis. Vous le méritez! Faites-en cela, l’ultime préoccupation de vos préoccupations de 2010.

Que le Tout Puissant Allah vous protège et vous comble de ses grâces, vous, mes insulteurs, vos familles et tous ceux qui vous sont chers. Que l'amour de Dieu arrose votre demeure et fait fleurir votre jardin. Par la Grâce de Dieu dans son immense Amour!
Bonne et heureuse année 2010, et 
Sociales salutations!

Michelot Yogogombaye
Bienne, Suisse.

 

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23 décembre 2009 3 23 /12 /décembre /2009 13:23
dadis camaraOù que tu sois,
Quoi qu'on veille te faire
Saches que l'Afrique,
Celle qui pleure encore
Bartelemy Boganda
Patrice Lumumba
Kwamé N'kruma et
Thomas Sankara
Cette Afrique là est avec toi!
Dadis,
Les enfants des "Tirailleurs Sénégalais"
Te souhaitent Joyeux Noël!
l-espoir-c-est-une-bougie-dans-l-obscurite.gif
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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 22:40
5650_1219624089653_1200448595_30673293_7093763_n.jpgDérive de la liberté d'expression ou imbécillité de l'instruction de l'Homme noir ????
Haïr la différence n’est pas un signe d’intelligence, sinon l’Afrique regorgerait d’intelligent de la pire espèce…
Qu’il est déplorable que l’on soit à ce point victime de l’instruction…

Joseph Tapa
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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 19:48

03559-copie-1.JPGNous avons reçu aujourd’hui ce commentaire de la part d’un de nos fidèles p’tits blogueurs, signé : INCHA. Nous vous le mettons en ligne avec l’adresse e-mail ainsi l’adresse IP de l’ordinateur utilisé pour poster ce sympathique commentaire.

 ·  tangar@hotmail.fr

·   93.1.209.151

« Michelot Yogogogogogogombaye ! Je te hais ! tu es une honte pour le sud en général et les ngambayes en particuliers. Oui ! N'importe qui peut se déguiser en Zagawa ou en Itno et piller et prendre n'importe quoi. au temps de HH, ton dieu, c'était les goranes qui faisaient pareils. J'ai une seule chose à te dire : je te hais et je souhaite que tu meures aujourd'hui d'une crise cardiaque ou que tu sois écrasé par une voiture ou un train ».

-------------------------------

NDLR : Michelot Yogogombaye n’est pas une femme pour être aimé et il sait qu’il est haï pour ses opinions politiques pour lesquelles s’il faut mourir, il est prêt à en mourir. Cette perspective ne l’effraie pas, pas plus que de tels commentaires qui ne rabaissent que son auteur!

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Présentation

  • : RDPL, Mieux Vivre-Ensemble
  • : Rassemblement Démocratique pour la Paix et les Libertés au Tchad. La passion de bâtir, le rêve de construire un Tchad nouveau!
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Young-black« Nous voulons être délivrés. Celui qui donne un coup de pioche veut connaitre un sens à son coup de pioche. Et le coup de pioche du bagnard, qui humilie le bagnard, n’est point le même que le coup de pioche du prospecteur, qui grandit le prospecteur. Le bagne ne réside point là où les coups de pioche sont donnés… » ANTOINE de Saint-Exupéry, in TERRE DES HOMMES.

 

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