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22 mai 2011 7 22 /05 /mai /2011 12:09

schweiz2.gifLe FMI désignera un successeur à Strauss-Kahn en juin

 

Scandale DSK | Les Etats membres du Fonds monétaire international, qui recherchent un successeur à Dominique Strauss-Kahn, se sont accordés sur la procédure de sélection d’un nouveau directeur général, qu’ils veulent désigner en juin.

 

"Vote ne signifie pas nécessairement démocratie. Même en imaginant un vote à bulletin secret, les administrateurs ne voudront pas forcément aller contre un Européen donné comme favori, ni être parmi ceux qui n’annoncent pas publiquement qu’ils ont voté pour le nouveau directeur général", explique-t-il à l’AFP.

 

Le continent européen a clairement montré sa volonté de présenter un candidat, la Française Christine Lagarde faisant figure de grande favorite. Dernière voix à se prononcer en sa faveur, son homologue allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, qui l’a jugée samedi "parfaitement appropriée en tant que personne pour ce poste".

 

FMI.jpgAucune unité parmi les pays émergents


Les pays émergents du groupe BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), qui pourraient offrir un solide contre-poids à une candidature européenne, n’ont affiché aucune unité.

 

Le ministre brésilien des Finances Guido Mantega n’est pas complètement hostile à l’idée d’un Européen, même si sa préférence va a priori ailleurs. Moscou a déjà son candidat, le Kazakh Grigori Martchenko. L’Afrique du Sud et l’Inde pourraient pousser sur le devant de la scène les candidats qu’on leur prête, respectivement Trevor Manuel et Montek Singh Ahluwalia. Et Pékin réfléchit à en présenter un, qui n’a pas été clairement choisi.

 

Un autre émergent d’importance, le Mexique, milite désormais officiellement pour le gouverneur de sa banque centrale, Agustin Carstens.


Le Turc Kemal Dervis, qui passait pour un bon compromis entre Européens et émergents, s’est exclu de la course.

 

Les Etats-Unis, sans le soutien desquels il n’est pas possible de l’emporter, ont souhaité "un candidat ayant la forte expérience et les qualités de direction requises, et capable d’obtenir un large soutien". Très appréciée à Washington, Mme Lagarde correspond à cette description.

 

Le descriptif du candidat idéal donné par le FMI est pratiquement le même qu’au moment du recrutement de M. Strauss-Kahn en 2007: "expérience éminente dans la conception de la politique économique à des niveaux élevés", ce qui favorise les ministres des Finances, ou encore "communiquant efficace", une qualité prêtée à la ministre française par ceux qui la soutiennent.

 

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 20:02

187844 202188799791815 5162017 sLes électeurs tchadiens étaient moins nombreux à faire le déplacement pour voter. Les bureaux de vote tant à N’Djaména que dans de nombreuses villes du pays n’ont pas connu de grande affluence. Beaucoup de personnes sont restées chez elles. A N’Djaména où en dehors du bureau de vote n°1 dans le quartier Djambalngato où le couple présidentiel a voté, l’on a observé un engouement mitigé à travers les 10 arrondissements de la capitale. Les Tchadiens ont mis à la lettre le mot d’ordre de boycott lancé par le trio de l’opposition. Le président sortant a lancé après avoir voté, un appel à la population pour sortir massivement voter celui qui dirigera le Tchad pour les 5 années à venir, mais son appel n’a pas eu d’échos.

Dans plusieurs bureaux visités, les membres du bureau et les délégués se ne savent que faire, car les électeurs ne se sont pas présentés. Sur 400 inscrits par exemple, mois d’une centaine de personnes ont effectué le déplacement cela un peu partout à travers la ville. Même situation également dans plusieurs villes du pays. Dans certains bureaux de vote, les électeurs votent à l’air libre sous les arbres, car il n’y avait pas d’isoloir. C’est le cas des deux bureaux non loin du ministère des Infrastructures au quartier Farcha. Dans d’autres quartiers, les gens sont restés devant leur concession et discutaient d’autres choses. Dans les quartiers sud de N’Djaména, pour nombre des habitants rencontrés, cette élection est un non événement pour eux.

Dans les quartiers nord de la capitale, l’on a observé l’absence des délégués, le retard dans l’ouverture des bureaux, des isoloirs déplorables et bien d’autres dysfonctionnements. Au quartier Moursal considéré comme le fief des opposants, les bureaux sont restés ouverts mais la population n’etait pas aussi au rendez-vous comme attendu. Pour faciliter la tâche aux électeurs, les bureaux des votes se sont concentrés dans un seul lieu, mais la population est restée sur le boycott lancé par l’opposition.

Par Edouard Takadji - 26/04/2011

 

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 09:30

30180521.jpgRéélection d'Idriss Déby : Un dictateur soutenu par la France
(Lutte Ouvrière 28/04/2011)
Idriss Déby devrait sans surprise être reconduit à la présidence du Tchad, à l'issue de l'élection organisée le 25 avril. La fraude électorale étant la règle et le résultat connu d'avance, peu d'électeurs se sont d'ailleurs déplacés jusqu'aux bureaux de vote. Comme lors des présidentielles de 2006, les principaux partis d'opposition avaient également boycotté cette parodie de démocratie.

Déby va donc se succéder à lui-même, comme il le fait depuis 1990, date à laquelle il était arrivé au pouvoir, après avoir chassé Hissène Habré par un coup de force militaire. De Tombalbaye à Déby, en passant par le général Malloum en 1975, Goukouni Weddei en 1979 et Hissène Habré en 1982, le Tchad n'a connu qu'une succession de coups d'État et de régimes dictatoriaux depuis son indépendance.

Déby et son clan perpétuent donc cette situation, en imposant leur censure à la presse et une répression sanglante contre les opposants. En février 2008 une offensive rebelle, parvenue jusqu'aux portes du palais présidentiel dans la capitale N'Djamena, avait bien failli provoquer la chute du régime. Avec la complicité de l'armée française, Déby s'en était sorti. Il s'en était suivi une répression au cours de laquelle plusieurs opposants disparurent.

Malgré la découverte et l'exploitation de gisements pétroliers dans la région de Doba en 2003, la situation du pays, l'un des plus pauvres d'Afrique, n'a guère changé. Déby et son clan en ont certes profité pour s'enrichir, renforçant également les moyens mis à la disposition de l'armée, mais la population connaît toujours la misère et l'absence d'infrastructures. Le manque d'eau potable et les mauvaises conditions d'hygiène favorisent les épidémies : méningite, rougeole, choléra... Quant à la flambée des prix des denrées alimentaires, elle a aggravé la famine qui frappe de nombreuses familles.

Malgré ce tableau accablant, Déby, comme ses prédécesseurs d'ailleurs, a toujours bénéficié du soutien de la France. Il faut dire que le Tchad occupe une position stratégique au cœur de l'Afrique. C'est pourquoi l'impérialisme français y maintient en permanence plusieurs centaines de soldats, prêts à intervenir aux quatre coins du continent, partout où les intérêts des Bouygues, Bolloré, Total, Areva et autres trusts seraient menacés. Et ce n'est pas le gouvernement de Sarkozy qui remet en cause cette politique de soutien au dictateur tchadien.

Roger MEYNIER

Lutte Ouvrière n°2230 du 29 avril 2011

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10 février 2011 4 10 /02 /février /2011 20:39

Carte du Tchad2Tout le monde sait que les pays africains ont été fabriqués par les colonisations sans de véritable base historique et culturelle, mais plutôt géographique. Pendant longtemps la frontière héritée de la colonisation était considérée sacro-sainte bien que beaucoup de nos problèmes sont liés à celle-ci. Mais, aujourd’hui, surtout à la veuille de la proclamation de l’indépendance du Sud Soudan, l’ouverture de débats francs et objectifs sur ce sujet s’imposent. Ceci est dans l’intérêt de l’avenir de notre Continent pour mettre en place le véritable jalon d’un développement harmonieux et une stabilité politique pérenne. 

 

Nous savons tous que les différents régimes qui se sont succédé au Tchad ont pratiquement mis d’éponge sur l’histoire précoloniale du Tchad, en choisissant la date de naissance du peuple comme étant l’arrivée de la colonisation. Comme la plupart de ces dignitaires de régimes ont été moulés et intellectuellement anéantis/assujettis par la colonisation, ils ont assuré la continuation du système colonial dont l’un de ses grands objectifs a été de faire croire aux indigènes qu’ils ont été sauvages et barbares, et qu’ils les ont sauvé avec le triple C (Christianité, Civilisation et Commerce). Ce qui est d’ailleurs confirmé par les propos de Sarkozy au Sénégal en 2009. C’est aussi vrai avec tous les envahisseurs, leur première cible est de détruire les valeurs identitaires de peuple conquis et les remplacer avec les leurs pour réellement les assujettir.  

 

Ainsi, la nation existe dans la bouche mais très peu dans le cœur ; Un hymne national, une forme d’Etat, un Drapeau, un nom inconnu du pays et une Devise tous légués par la colonisation. Ce qui fait que tout le monde pille, tue, sabote sans merci cette nation et l’attachement au clan/région est de loin plus fort qu’à l’allégeance à la nation tchadienne. Ainsi, notre parcours de cinquante ans, de soit disant indépendant, a été émaillé de dictatures, rebellions, tortures, oppressions, humiliations, etc. Nous avons continué de démontrer nos caractères primitifs à l’ancien oppresseur en n’étant pas capable d’analyser les causes profondes de nos mots et tracer le chemin du futur. Essayons de voir plus clairement quelques uns de ces mots :  

       La forme de l’Etat : Un Etat unitaire (accepté sans question) dans un pays diversifié qui ne permettait pas un système de gouvernance participative et démocratique pour le peuple par le peuple. C’est pourquoi nous avons eu une succession des rebellions depuis l’indépendance qui ont toujours réclamé la justice sociale sans pouvoir stipuler clairement les vraies causes de la soi-disant injustice et proposer d’alternatives concrètes. C’est aussi illustré par le fait que nous avons brulé les armes pendant la Conférence Nationale comme si c’est les armes qui ont été les causes, mais les rebellions ont continué par la suite. Par exemple, nous avons entendu nos parents dire que quand les colons blancs ont quitté, ils ont été remplacés par les colons Sara. Et par la suite les Sudistes ont considéré les Nordistes de la même manière. Chaque régime envoie essentiellement les siens pour coloniser les différentes régions ; du planton jusqu’à la tête de l’administration régionale. Un autre exemple qui illustre ce problème c’est la difficulté d’établir un seul code de famille pour Tchad. La question que l’on peut se poser c’est pourquoi on doit avoir un seul code de famille. Pourquoi pas plusieurs si nous avons une forme appropriée d’Etat.

       Crise identitaire : Au Tchad, à part ceux qui se réclament d’origine Sao et certains sudistes, tous les autres viennent d’ailleurs, soit qu’ils se réclament d’avoir été de l’Arabie ou des berbère venus de l’Afrique du Nord. Cela veut dire qu’ils ne sont pas des négro-africains, qui sont des gens primitifs sans civilisation. Ainsi, de facto, ils ont tous été des négriers, des colons venus civilisés les negres indigènes.  L’absurdité en est que si on leur demande s’ils sont arabes ou berbère, la majorité nous dira qu’il est de telle ethnie ou telle autre. Ainsi, nous avons une grande partie de la population complexée de ses propres origines en niant ce qu’il est. Donc, il est de la responsabilité du gouvernement d’ôter ce complexe et former l’homme tchadien digne de ce qu’il est et capable de dessiner son futur. L’exemple récent de polémique sur la langue démontre l’incapacité du Gouvernement Tchadien à bâtir la nation Tchadienne qui représente son peuple, dans ses diversités culturelles et identitaires. A cet effet, les mesures ci-dessous s’imposent pour la construction de cette nation de rêve :

       Une forme appropriée de l’Etat qui peut permettre à tous les groupes de la population tchadienne de participer à la gestion de choses de l’Etat : une gestion de l’Etat consensuelle et participative. Celle-ci peut être une fédération, une confédération, etc. tout ce qu’on veut imaginer d’être approprié, un système dans lequel les entités nationales puissent avoir une large autonomie pour s’autogouverner. Ceux-ci doivent recruter leurs policiers, élisent leur gouverneur, recrutent leur trésorier, etc. Sur la base historique et culturelle, ces régions peuvent être groupés comme ci-dessous :

o    Une entité pour les groupes nomades – BET – Nord Batha – Nord Biltine

o    Une entité arabo-Ouaddaienne : Ouaddaï – Biltine-Salamat-Batha – une partie de Guera

o    Une Entité Kanem-Bornou : Kanem-Lac-Bahr-ElGazel-Hadjer Lamis

o    Une entité Logone –Chari- Baguirnmi : Logones, Moyen Chari, une parrtie de Guera

o    Une Entité de groupes tchadiques : Tandjilé-MK 

       Un Drapeau national, Un Hymne national par les tchadiens, un vrai nom du pays à même d’inspirer le peuple dans son ensemble, la mise en place d’un programme de promotion des langues nationales dans chacune de grandes régions (si l’inde, la chine, l’Indonésie ont une langue nationale, le Tchad peut aussi l’avoir)

Sur la base de cette reforme, l’Etat doit travailler dans le sens de bâtir cette nouvelle nation en renforçant l’unité nationale non sur des bases folkloriques, mais avec des actions concrètes. Ainsi, nous devons mener des études anthropologiques sérieuses pour déterminer les liens séculaires qui existent entre les groupes ethniques du Tchad. Certaines de ces valeurs culturelles à investiguer sont les balafres tchadiens, les langues, les caractéristiques physiques, les rites d’initiation, et plusieurs autres pratiques culturelles. Ainsi, nous pouvions peut-être prouver scientifiquement qu’une grande partie de la population a une même origine tchadienne, mais pas étrangère comme beaucoup le prétendent actuellement.

Il est tout à fait évident que pour établir des vraies nations en Afrique, il faudra passer par une rupture avec la colonisation pour établir un africain digne de ce qu’il est et capable de prendre en main son destin. Cette rupture doit être essentiellement culturelle, linguistique et structuration étatique pour répondre aux aspirations du peuple.

 

En fin, si les Etats Africains ne prennent pas le devant sur le cours de l’histoire, le changement pourrait être brisque et violent puisque les situations puissent revirer inéluctablement à l’état d’équilibre précolonial. Ainsi les régions au tour du Lac Tchad pourraient se diviser au moins en quatre Etats  distincts : La nation Baguirmi-Logone-Chari (Guèra, Chari Baguirmi, Moyen Chari, les Logones, les Tandjile, et le MK), la Nation Ouaddaienne/Darfourienne (une partie de Batha, le Ouaddai, le Biltine et le Salamat et Darfour), le peuple nomade du Sahara (BET, l’Aire, Azawad), le Kanem-Bornou (Kanem, Lac, Hadjar Lamis, le Bornou, Yobe, Diffa). Dans toutes ces régions, les hommes ont gardé leurs civilisations séculaires malgré l’érection des frontières coloniales depuis plus de 100 ans.

 

A bon entendeur salut.

 

 

Abdelkerim Ali Issa Mbodou

N’djamena

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9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 14:06

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Au Tchad, nous n'avons pas, nous au Rdpl, la prétention de cacher le soleil avec nos mains.

 

Si, après 50 ans de construction nationale tumultueuse jamais réussie jusque-là, les tchadiennes et les tchadiens ne croient plus à l'unité nationale, et s'ils le jugent majoritairement nécessaire, alors nous sommes d'accord que cette question soit  portée sur la scène nationale au moyen d'un référendum constitutionnel.

 

Nous sommes prêts et acceptons de soumettre cette question de "vouloir vivre ensemble" au verdict du peuple. Par conséquent, nous appelons le Gouvernement et les autorités tchadiens de se mettre en accord avec l'Union Africaine et les Nations Unies, afin d'organiser sans délai un référendum sur l'unité ou la séparation des entités sociologiques jusque-là artificiellement juxtaposées; sur la question de la République et l'Etat du Tchad unitaire et centralisé ou le fédéralisme, ou la confédération des Etats indépendants, culturellement autonomes. Il n'appartient plus à un groupe quelconque d'individus, ou à un parti, moins encore à un pouvoir, qui cultive lui même quotidiennement son illégitimité nationale, de décider, sans autre, ce qui convient aux tchadiens d'aujourd'hui et de demain.

 

Ainsi donc, si, après 50 ans de cohabitation, les tchadiennes et les tchadiens estiment qu'ils n'ont plus vocation à vivre ensemble (on l'observe tous les jours dans les actes, attitudes et comportements quotidiens de ceux qui nous gouvernent depuis le printemps 1977 jusqu'aujourd'hui), alors donnons l'occasion au peuple souverain de s'y exprimer par voie d'un référendum constitutionnel libre, juste et démocratique.

 

Telle est la position officielle du Rdpl que la direction nationale assume pleinement!

 

Michelot Yogogombaye


Rdpl, Mieux vivre ensemble

Un engagement pour le Tchad

 

rdpltc@gmail.com

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 21:53

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Cliquez sur ce link pour suivre la déclaration du Président du Rdpl

 

Rdpl, Mieux vivre ensemble

Un engagement pour le Tchad.

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15 janvier 2011 6 15 /01 /janvier /2011 11:06

images OKLe président tchadien Idriss Deby Itno s'est dit aujourd'hui "inquiet" des conséquences possibles d'une partition du Soudan, après le vote du Sud sur l'option d'une séparation d'avec le nord du pays, et de ses répercussions pour le Tchad, dans un entretien à la chaîne France 24.

"Nous sommes inquiets dans la mesure où nous sommes voisins de ce pays. Quand il y a des problèmes chez nos voisins (...), il n'est pas exclu que les conséquences nous touchent directement", a déclaré le président. "On a déjà l'expérience de la crise au Darfour", région de l'ouest du Soudan frontalière du Tchad en proie à la guerre civile depuis 2003, a rappelé M. Deby.

Les Sud-Soudanais se prononcent depuis dimanche, et jusqu'à samedi, sur le maintien de l'unité avec le reste du Soudan ou la séparation, lors d'un référendum prévu par l'accord de paix ayant mis fin en 2005 à plus de deux décennies de guerre civile.

Les analystes, ainsi que la classe politique nordiste, pronostiquent une victoire de l'option sécessionniste. "Tout notre souhait, c'est que cette séparation (...) se passe dans la paix, la sérénité", a conclu Idriss Deby.

Le Tchad a longtemps entretenu des relations très tendues avec le Soudan, accusé à de nombreuses reprises d'héberger des rebelles cherchant à déstabiliser le pouvoir à N'Djamena, avant un réchauffement depuis un an.

Signe notable de ce rapprochement, la présence de militaires soudanais au grand défilé militaire organisé mardi pour la célébration des 50 ans d'indépendance du Tchad.

 

Source: Le Figaro|AFP

 

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30 octobre 2009 5 30 /10 /octobre /2009 20:01

Rdpl, Mieux Vivre-Ensemble
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19 octobre 2009 1 19 /10 /octobre /2009 21:31
Tant pis? Vraiment? Vraiment tant pis?
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17 octobre 2009 6 17 /10 /octobre /2009 18:33

Un certain Ahmat Mahamat Korei menace Moyalbaye Youssouf Dairou de mort subite, soudaine et même immédiate! La scène aura lieu en France, en plein coeur de Paris qui, selon ce Ahmat Mahamat Korei, n'est pas le bout du monde. Nous vous laissons apprécier, ci-dessous, par vous-même la teneur de sa sentence de mort.

Commentaire posté par Ahmat Mahamat Korei sur l'article

Commentaire posté par : Ahmat Mahamat Korei le 17 octobre  à 14h19

ahmatmahamat.korei@yahoo.fr

90.44.37.90

Géo localisation : en cours

Une Rebellion en Ligne contre Le régime de Deby.
Nous constatons que un nouveau groupe rebel se constitut sur facebook nommé soit disant la generation du concret dirigé par Youssouf Moyalbaye. Ce groupe est monté par le soutien de Michelot Yogogombaye ce soit disant opposant. Nous verons bien jusqu'a ou ils vont continué. Nous savons que Moyalbaye est un desertere de l'ANS et les desertere ne merite que la punission qui leur revient de
droit. "Jeunesse du concret" quel concret? Michelot et Moyalbaye se trompe de route et faut pas trainé les autres derieres vous aveglement. On contrôle la situation et la France ce pas le bout du monde.
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Présentation

  • : RDPL, Mieux Vivre-Ensemble
  • : Rassemblement Démocratique pour la Paix et les Libertés au Tchad. La passion de bâtir, le rêve de construire un Tchad nouveau!
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Young-black« Nous voulons être délivrés. Celui qui donne un coup de pioche veut connaitre un sens à son coup de pioche. Et le coup de pioche du bagnard, qui humilie le bagnard, n’est point le même que le coup de pioche du prospecteur, qui grandit le prospecteur. Le bagne ne réside point là où les coups de pioche sont donnés… » ANTOINE de Saint-Exupéry, in TERRE DES HOMMES.

 

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