27 mars 2009
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Tchad: le sud entre paix et sédition (Mak)
A l'execption du député Ngarléjy Yorongar, leader de la Fédération Action pour la République(FAR) dont l'opposition au pouvoir militaire d'Idriss Deby, est perçue saine, la majorité des chefs de partis politiques, intellectuels et autres membres des organisations de la société civile, originaires de la région méridionale du Tchad,sont taxés de complaisance excessive et de cautionner les dérives les plus abjectes du régime criminel et autoritaire de Ndjaména.
Exempté des conflits armés au Tchad, depuis une dizaine d'années, le sud du Tchad, serait selon plusieurs informations concordantes, en état d'insurrection ou de complot contre le pouvoir central d'Idriss Deby, dont certains cadres les plus éminents , ont apporté à travers une complicité sans égale allant de hold up électoral à la reforme de la constitution en faveur d'un régime à la base pseudémocratique.
Nombreux Tchadiens, estiment que la longétivité du pouvoir du Général président Idriss Deby, doit son existence aujourd'hui, par un silence assourdissant synonyme d'indifférnce de quelques responsables politiques du sud dans la situation des conflits armés actuels., Ils sont reprochés de trouver leurs comptes avec Idriss Deby alors que la paupérisation galopante n'épargne personne au Tchad, seule, une minorité dirigeante qui jouit d'une fierté nationale à cela s'ajoutent les humiliations à l'encontre des paisibles citoyens, devenues légions et bannalisées dans le pays.
Comme, nous le confiaient souvent plusieurs responsables administratifs tchadiens en mission à l'étranger et qui disent: "nous ne sommes pas fiers d'occuper des postes à responsabilités sous le régime d'Idriss Deby, du fait simple, que nous ne sommes pas considérés par ses proches y compris un simple soldat de la garde présidentielle, se voit plus valeureux qu'un cadre bardé des diplômes".
Hypocrisie ou pas, mais, ils le disent tout de même!
De nos jours, au Tchad, l'opposition à un tel régime s'impose, devient légitime et symbolise essentiellement l'honneur pour les uns tandis que l'allégéance incarne le déshonneur pour les autres.
Il faut savoir donc faire un choix entre les deux.
Malheureusement avec Idriss Deby, nul n'est à l'abri de paix et de quiétude, il faut en être conscient.
A l'execption du député Ngarléjy Yorongar, leader de la Fédération Action pour la République(FAR) dont l'opposition au pouvoir militaire d'Idriss Deby, est perçue saine, la majorité des chefs de partis politiques, intellectuels et autres membres des organisations de la société civile, originaires de la région méridionale du Tchad,sont taxés de complaisance excessive et de cautionner les dérives les plus abjectes du régime criminel et autoritaire de Ndjaména.
Exempté des conflits armés au Tchad, depuis une dizaine d'années, le sud du Tchad, serait selon plusieurs informations concordantes, en état d'insurrection ou de complot contre le pouvoir central d'Idriss Deby, dont certains cadres les plus éminents , ont apporté à travers une complicité sans égale allant de hold up électoral à la reforme de la constitution en faveur d'un régime à la base pseudémocratique.
Nombreux Tchadiens, estiment que la longétivité du pouvoir du Général président Idriss Deby, doit son existence aujourd'hui, par un silence assourdissant synonyme d'indifférnce de quelques responsables politiques du sud dans la situation des conflits armés actuels., Ils sont reprochés de trouver leurs comptes avec Idriss Deby alors que la paupérisation galopante n'épargne personne au Tchad, seule, une minorité dirigeante qui jouit d'une fierté nationale à cela s'ajoutent les humiliations à l'encontre des paisibles citoyens, devenues légions et bannalisées dans le pays.
Comme, nous le confiaient souvent plusieurs responsables administratifs tchadiens en mission à l'étranger et qui disent: "nous ne sommes pas fiers d'occuper des postes à responsabilités sous le régime d'Idriss Deby, du fait simple, que nous ne sommes pas considérés par ses proches y compris un simple soldat de la garde présidentielle, se voit plus valeureux qu'un cadre bardé des diplômes".
Hypocrisie ou pas, mais, ils le disent tout de même!
De nos jours, au Tchad, l'opposition à un tel régime s'impose, devient légitime et symbolise essentiellement l'honneur pour les uns tandis que l'allégéance incarne le déshonneur pour les autres.
Il faut savoir donc faire un choix entre les deux.
Malheureusement avec Idriss Deby, nul n'est à l'abri de paix et de quiétude, il faut en être conscient.
Makaila Nguebla