"Pendant que je vieillirai à Qunu, je continuerai à espérer que s'impose, dans ma région et dans mon propre pays, sur le continent africain et dans le monde entier, une génération de leaders qui aura à coeur de veiller à ce que les hommes ne connaissaissent jamais le manque de liberté dont nous avons souffert, qu'ils ne soient jamis affamés comme nous l'avons étét, et que leur dignité soit toujours respectée". Nelson Mandela, extrait de son discours devant l'Assemblée Générale de l'ONU, septembre 1998.
plus de 20.000 hectares de parcelles à Bongor, 20.000 ha à Mandelia,15 000 autres à Mara
c'est un projet d’exploitation ou une partie du Tchad vendu par Deby aux libyens??????
Les travaux de la commission mixte Tchad-Libye ont pris fin hier à l’hôtel Kempinski. A l’issue des travaux, les experts ont validé le projet d’exploitation de 20.000 hectares de parcelles à Bongor, 20.000 ha à
Mandelia,15 000 autres à Mara par la Libye et la plantation de plus de 4 millions d’arbres tout au long du fleuve Chari pour lutter contre l’ensablement.
Il y a de la ratatouille sur le blog de Makaïla. En voici des morceaux choisis !
En date de : Sam 1.8.09, Issa Abdel <issaabdel@ymail.com> a écrit :
De: Issa Abdel issaabdel@ymail.com
Objet: Re : la honte
À: "nguebla makaÿffffefla" nmakaila@yahoo.fr
Date: Samedi 1 Août 2009, 19h03
Eh! toi l'escalve
Tom Erdimi n'est pas de ton aĝe ni de ta génération
Tes mic-macs fait-les avec tes amis
On aura ta peau un jour...
Issa
(NDLR Mak): ce message d'une rare mesquinerie, m'a été envoyé juste après ma réaction à l'article paru sur le site Tchadactuel, proche des frères Erdimi. Sur conseils des proches, nous avons décidé de le rendre public et le laisser à votre appréciation pour que vous compreniez mieux la vraie nature de ceux qui prétendent lutte pour une juste cause au Tchad.
Ce message corrobore, en effet, notre accusation sur la piste de Tom Erdimi, désormais auteur de cet article paru sur son site sans référence médiatique pour l'opinion générale au Tchad.
Mais, nous avons des nerfs solides et un moral d'acier pour les défier liés à la juste cause au Tchad. Une fois de plus, un aveu de faible face à ma liberté de ton qui dérange, l'opinion des citoyens libres, est interpellé.
Que ceux qui en veulent à moi, se rassurent que jamais, je n'ai été animé par une quelconque peur sur cette terre devant quiconque.
Makaila Nguebla
makaila sache que tu n'es pas seul on est avec toi mon frere.
franchement j'ai pitie de la simplicité de leurs esprits et de leur manque d'education.
que le courage soit avec toi...
Commentaire n° 1 posté par ab aujourd'hui à 04h26
"Eh toi esclave". Ces termes sont très souvent employés par les musulmans du nord pour désigner les sudistes. D'où vient souvent cette allusion mal fondée ? tout simplement parce que les Arabes musulmans ont toujours considéré le Noir comme un être inférieur qui ne peut être qu'un esclave. L'islam a interdit tout un tas de chose, mais malheureusement, l'esclavage est bien toléré. On demande d'amputer la main du voleur. Mais le plus gros voleur, c'est celui qui vole et qui confisque la liberté d'autrui. L'esclave est un bon à rien selon l'islam. On doit le libérer juste si on a commis un péché pour se faire pardonner par dieu. autrement, on doit, continuer à le traiter en esclave. Les Arabes ont pratiqué la traite négrière aussi sauvagement que les Occidentaux. Les arabes ont non seulement islamisé et arabisé le Nord du Tchad. Ils ont transmis aux Tchadiens leur vision cynique du Noir, et des Tchadiens du Nord, bien que Noirs, se croient Arabes dans leur tête : c'est ainsi qu'ils traitent les Noirs d'esclaves (eux étant Arabes Blancs dans leur tête). Triste islamisme et arabisme.
Makaila. Ne t'en fais pas. On est tous avec toi.
Commentaire n° 2 posté par Macaoura aujourd'hui à 07h44
"Eh toi esclave". Ces termes sont très souvent employés par les musulmans du nord pour désigner les sudistes. D'où vient souvent cette allusion mal fondée ? tout simplement parce que les Arabes musulmans ont toujours considéré le Noir comme un être inférieur qui ne peut être qu'un esclave. L'islam a interdit tout un tas de chose, mais malheureusement, l'esclavage est bien toléré. On demande d'amputer la main du voleur. Mais pas la main du plus gros voleur, celui qui vole et qui confisque la liberté d'autrui en le privant de toute sa famille. L'esclave est un bon à rien selon l'islam. On doit le libérer juste si on a commis un péché pour se faire pardonner par dieu. autrement, on doit, continuer à le traiter en esclave. Les Arabes ont pratiqué la traite négrière aussi sauvagement que les Occidentaux. Les arabes ont non seulement islamisé et arabisé le Nord du Tchad. Ils ont transmis aux Tchadiens leur vision cynique du Noir, et des Tchadiens du Nord, bien que Noirs, se croient Arabes dans leur tête : c'est ainsi qu'ils traitent les Noirs d'esclaves (eux étant Arabes Blancs dans leur tête). Triste islamisme et arabisme.
Makaila. Ne t'en fais pas. On est tous avec toi.
Commentaire n° 3 posté par Macaoura aujourd'hui à 07h46
Le peuple tchadien a son ennemi qui est deby itno.les freres erdimi ont leur ennemis a savoir:Mr soubiane assaballah parcequ'il a refuse timan comme chef,General Mahamat Nouri parceque craignant que ce dernier va prendre le pouvoir de leur oncle.Makaila parcequ'il a suporte un temps mr soubiane.c'est comme cas qu'on fait la politique?mr erdimi change ton arme d'epaule car les tchadiens ont deja su vos jeux diaboliques.
Commentaire n° 4 posté par tchadien aujourd'hui à 10h47
Bon courage cher frère Makaila, il ne s'agit en fait que d'une petite intimidation maladroite de la part de ces idiots qui pensent avoir le monopole de la manipulation.Il n'y a ni Arabisme, ni Islamisme, ni Christianisme, ni Judaïsme.
* * *
Juliette Abandokwe : Bonjour Monsieur Yorongar, merci infiniment de répondre à ces quelques questions....
Ngarlejy Yorongar : Bonjour Madame. Tout le plaisir est à moi de vous rencontrer et de vous connaître après tout ce que vous faites pour moi.
J. Abandokwe : Vous êtes ici à Bruxelles pour raison de santé depuis plusieurs semaines déjà, comment vous portez-vous aujourd'hui...?
N. Yorongar. : Dieu merci, je vais nettement mieux. En effet, cela fait deux mois, jour pour jour, que je suis à Bruxelles pour me faire soigner dans les conditions que vous savez. Grâce à Dieu, je suis fixé maintenant sur la maladie qui a failli m’emporter en mars et avril derniers. L’imagerie par résonnance magnétique (IRM) a mis en évidence une thrombose (caillot de sang) dans le cerveau et les différentes échographies ont décelé des plaques noires dans mes intestins et mon côlon. Voilà le constat amer que la médecine moderne a fait. La thrombose résulte, sans doute, des tortures subies et des coups de crosses reçus à la tête plusieurs fois notamment, le 4 juillet 1996, le 30 mai 2002 et le 3 février 2009 tandis que les plaques noires au niveau des intestins et du colon résultent d’un poison que je redoutais à ma sortie de prison privée d’Idriss Déby, le 21 février 2009. A défaut de me loger une balle lui-même dans ma tête comme il l’avait dit sèchement à une soixantaine de mes parents convoqués pour la circonstance, le 4 février 1999, Idriss Déby s’acharne sur moi lui-même dans le but de me voir mort. Pour mémoire, il m'a fait enlever quatorze (14) fois et m'a torturé lui-même.
. Abandokwe : Quels sont projets dès que vous aurez recouvré votre bonne santé?
N. Yorongar : Je viens de voir mon médecin ce matin pour faire le point avec lui. Il me libère en me prescrivant des médicaments pour six mois. A l’issu de ce délai, Dieu voulant, je reviendrai pour le contrôle.. Je profite de votre interview pour remercier tous ces médecins belges qui sont si gentils à mon égard et qui m’ont examiné et soigné efficacement. Mes remerciements vont également à mes médecins Tchadiens à savoir Dr Jacques Nanadoumgar, Dr Lazare Béral, l’unique neurologue au Tchad, Dr Djimé Hybi Langtar et le camerounais, le Dr Denis Bouallo de Douala, qui ont fait des pieds et des mains pour faciliter mon arrivée ici à Bruxelles, en dépit des obstacles que vous connaissez. Je remercie enfin M. et Mme Laoubara Mayoroum Yohoudoukom Miayan qui m’ont accueilli chez eux en s’occupant jour et nuit de moi.
J. Abandokwe : En rentrant au Tchad, vous connaissez les risques que vous courrez, qu'en pensez-vous...?
N. Yorongar : En rentrant, je cours le risque qu’un jour, on me trouve paralysé ou inanimé sur mon lit. C’est ce qui a failli arriver les 27 et 29 mars 2009 et 12 avril derniers.
J. Abandokwe : Pour l'opinion internationale, vous représentez l'opposition civile tchadienne, comment voyez-vous votre collaboration politique avec l'opposition armée...?
N. Yorongar : Je n’ai aucun rapport avec l’opposition armée même si, sans aucune preuve, les rapports des Ambassadeurs de France au Tchad affirment le contraire. Toutefois, Idriss Déby tremble à l’idée que je suis capable de lui monter un coup fatal comme je l’avais fait à Tombalbaye pour installer le général Malloum à sa place à N’Djaména et à Hissein Habré pour installer le sieur Idriss Déby à la place où il est présentement (cf. Tchad, le procès d’Idriss Déby, témoignage à charge, Editions l’Harmattan, 2003 de Ngarlejy Yorongar). Comme le disait Malaparte dans son livre «technique du coup d’Etat…», il faut remplir certaines conditions pour réaliser un coup d’Etat. Or ces conditions ne sont pas remplies au Tchad d’aujourd’hui. Et puis, je n’en vois pas l’utilité. Alors, j’invite Idriss Déby à dormir tranquille, car j’ai raccroché définitivement pour m’inscrire désormais sur le chapitre démocratique. Je n’ai pas besoin de coup d’Etat pour accéder au pouvoir suprême au Tchad. Par les urnes transparentes, je peux accéder au pouvoir suprême en le battant, à coup sûr, comme je l’ai battu dès le premier tour des présidentielles en 2001.
J. Abandokwe : Comment voyez-vous l'avenir du Tchad à court et à moyen terme?
N. Yorongar : Seule la volonté des acteurs politiques tchadiens peut ramener la paix au Tchad. Mais, malheureusement, Idriss Déby et ces derniers s’entendent pour qu’il n’y ait pas la paix qui permettrait des élections libres, démocratiques et transparentes au Tchad. Pour cela, ils s’adjugent l’expertise de spécialistes des fraudes, mis à leur disposition par les pays et les institutions internationales qui les soutiennent. Ainsi, les lois sont falsifiées pour les rendre scélérates en vue de la mise en place de la machine à fraudes électorales. Les acteurs politiques tchadiens ont tous peur de la démocratie parce qu’ils ont été les artisans patentés de la consolidation du régime, et de la conservation du pouvoir par Idriss Déby, en échange des prébendes et des miettes. Ils savent qu’ils n’auront jamais la chance de gagner des élections libres et transparentes au Tchad. C’est pourquoi, ils sont, tous tour à tour, à un moment ou à un autre, les fossoyeurs des élections libres dans notre pays. Donc du Tchad. Ils avaient, pour ce faire, érigé les fraudes électorales en système de gestion des élections pour pérenniser Idriss Déby et son pouvoir. En somme, les acteurs politiques tchadiens sont des pompiers pyromanes. En ce moment, ils roulent mécanique pour Idriss Déby, mais lorsque ce dernier les aura abandonnés au bord des routes après les élections de 2010-2011, ils vont se mettre à pleurer de nouveau en se décrétant opposants radicaux pour mieux attirer son attention et celle des Ambassadeurs des grandes puissances au Tchad. Et on prend les mêmes et on recommence. Et Satan conduit le bal. Et la balle. En tout cas, ces acteurs politiques tchadiens prennent les Tchadiens pour des imbéciles.
J. Abandokwe : Que souhaitez-vous aujourd’hui faire pour le Tchad ?
N. Yorongar : Contribuer à ramener la paix au Tchad en vue de la stabilité, de la promotion de la démocratie, de l’érection de la bonne gouvernance en système de gestion des deniers publics, de la connexion du Tchad au concert des nations respectables et respectées. En un mot, l’engagement du Tchad dans la voie du développement et ce qui s'en suit.
J. Abandokwe : Comment voyez-vous l'avenir du Tchad à court et à moyen terme?
N. Yorongar : Seule la volonté des acteurs politiques tchadiens peut ramener la paix au Tchad. Mais, malheureusement, Idriss Déby et ces derniers s’entendent pour qu’il n’y ait pas la paix qui permettrait des élections libres, démocratiques et transparentes au Tchad. Pour cela, ils s’adjugent l’expertise de spécialistes des fraudes, mis à leur disposition par les pays et les institutions internationales qui les soutiennent. Ainsi, les lois sont falsifiées pour les rendre scélérates en vue de la mise en place de la machine à fraudes électorales. Les acteurs politiques tchadiens ont tous peur de la démocratie parce qu’ils ont été les artisans patentés de la consolidation du régime, et de la conservation du pouvoir par Idriss Déby, en échange des prébendes et des miettes. Ils savent qu’ils n’auront jamais la chance de gagner des élections libres et transparentes au Tchad. C’est pourquoi, ils sont, tous tour à tour, à un moment ou à un autre, les fossoyeurs des élections libres dans notre pays. Donc du Tchad. Ils avaient, pour ce faire, érigé les fraudes électorales en système de gestion des élections pour pérenniser Idriss Déby et son pouvoir. En somme, les acteurs politiques tchadiens sont des pompiers pyromanes. En ce moment, ils roulent mécanique pour Idriss Déby, mais lorsque ce dernier les aura abandonnés au bord des routes après les élections de 2010-2011, ils vont se mettre à pleurer de nouveau en se décrétant opposants radicaux pour mieux attirer son attention et celle des Ambassadeurs des grandes puissances au Tchad. Et on prend les mêmes et on recommence. Et Satan conduit le bal. Et la balle. En tout cas, ces acteurs politiques tchadiens prennent les Tchadiens pour des imbéciles.
J. Abandokwe : Que souhaitez-vous aujourd’hui faire pour le Tchad ?
N. Yorongar : Contribuer à ramener la paix au Tchad en vue de la stabilité, de la promotion de la démocratie, de l’érection de la bonne gouvernance en système de gestion des deniers publics, de la connexion du Tchad au concert des nations respectables et respectées. En un mot, l’engagement du Tchad dans la voie du développement et ce qui s'en suit.
J. Abandokwe : Que dites-vous à vos différents détracteurs tchadiens...?
N. Yorongar : Plus ils niaisent, mieux je me porte. Je ne réponds pas aux coups des pieds des ânes comme dirait l’autre. Toutefois tous ceux qui, comme Vidal Kamougué, Ministre de la Défense, Jean Alingué Ministre de la Justice , Jacques Courbin et Jean-Pierre Berçot anciens Ambassadeurs de France au Tchad, le site Ambenatna et autres, m’opposeront, le moment venu, les preuves de leurs allégations selon lesquelles, je simule la maladie sans l’être réellement.
J. Abandokwe : Que dites-vous au gouvernement français...?
N. Yorongar : Je demande, tout simplement, à mon condisciple à l’Université de Paris X Nanterre (DEA de systèmes et structures politiques, année académique 1978-1979), le Président Nicolas Sarkozy De Nagy-Bosca d’aider les Tchadiens à faire la paix des braves au lieu de soutenir Idriss Déby qui est mortel. N’a-t-on pas dit que la France a des intérêts mais pas des amis ? Tel que je le connais, il a les moyens de ramener la paix au Tchad même si Idriss Déby qu’il soutient militairement et politiquement refuse obstinément la paix au Tchad.
J. Abandokwe : Comme vous adresseriez-vous à la communauté internationale aujourd'hui...?
N. Yorongar : Pourquoi la communauté internationale érige deux poids deux mesures en système de gestion des conflits ? Pour preuve, Idriss Déby et le président Oumar El Béchir sont épinglés dans un même rapport dressé par les experts indépendants diligentés par le conseil de sécurité des Nations-Unies. Mais le lobbying d’Idriss Déby piloté par le Président Jacques Chirac a réussi à expurger le cas d’Idriss Déby pour laisser Oumar El Béchir, seul face à la cour pénale internationale qui a fini par l’inculper pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre. Pourquoi Jean-Pierre Bemba, Charles Taylor etc. et pas Idriss Déby dont les miliciens ont commis les mêmes crimes qu'au Togo, en Irak avec Saddam Hussein, en République Démocratiques du Congo, en République Centrafricaine, pour ne citer que ceux-là ? Pourquoi Noriega pour trafics de drogues et trafics de fausse monnaie et pas Idriss Déby pour ses trafics de drogues et de monnaie avérés notamment en Allemagne, au Bahreïn, au Nigeria, en Côte d’Ivoire, au Togo, en France etc. ?
J. Abandokwe : Sur qui comptez-vous en termes de partenaires, et comment avancent vos projets...?
N. Yorongar : Sur personne. Pour mieux servir mon pays, je suis bien comme ça. Je crois qu’en faisant le vide autour de moi, Idriss Déby me rend service puisque les Tchadiens m’aiment tel que je suis. Je déteste la servilité.
J. Abandokwe : Comme vous adresseriez-vous à la communauté internationale aujourd'hui...?
N. Yorongar : Pourquoi la communauté internationale érige deux poids deux mesures en système de gestion des conflits ? Pour preuve, Idriss Déby et le président Oumar El Béchir sont épinglés dans un même rapport dressé par les experts indépendants diligentés par le conseil de sécurité des Nations-Unies. Mais le lobbying d’Idriss Déby piloté par le Président Jacques Chirac a réussi à expurger le cas d’Idriss Déby pour laisser Oumar El Béchir, seul face à la cour pénale internationale qui a fini par l’inculper pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre. Pourquoi Jean-Pierre Bemba, Charles Taylor etc. et pas Idriss Déby dont les miliciens ont commis les mêmes crimes qu'au Togo, en Irak avec Saddam Hussein, en République Démocratiques du Congo, en République Centrafricaine, pour ne citer que ceux-là ? Pourquoi Noriega pour trafics de drogues et trafics de fausse monnaie et pas Idriss Déby pour ses trafics de drogues et de monnaie avérés notamment en Allemagne, au Bahreïn, au Nigeria, en Côte d’Ivoire, au Togo, en France etc. ?
J. Abandokwe : Que dites-vous à la jeunesse tchadienne....?
Ngarlejy Yorongar : Au lieu de se résigner, de pleurnicher, de mendier à longueur de journée, elle doit se réveiller pour s’assumer afin de prendre son destin et celui du Tchad en main.
J. Abandokwe : Merci beaucoup Monsieur Yorongar… !
Ngarlejy Yorongar : A vous de même.
Colonel Abbo Sileck louanges du Tchad est un maître dans la géopolitique à la Sorbonne et dit qu'il a grandi dans une famille royale. Il rêve d'atteindre les pays d'Afrique du président
Colonel Mahamat Abbo Sileck a accordé une interview exclusive pour EVZ. Seconda mate ou à la légionellose Horatiu Potra, les rebelles du Tchad sângerosul agent d'exposer leurs ambitions dans un cadre discret de cafés Médias.
EVZ: Combien de personnes sont inscrits dans votre organisation?
Mahamat Abbo Sileck: ANR a environ 10.000 combattants, et d'autres factions ajouter 3000, 5000, dépend de chacun. À ce moment-là, l'armée du président Déby n'est plus national, mais ethnique: les soldats avec son origine ethnique. Les autres soldats ont été marginalisés. NAR a un rôle crucial dans ses mouvements contre Déby, et, par conséquent, j'ai été emprisonné au Soudan. NRA organisation a été conclu le 3 avril 2006, à la capitale N'Djamena. Ils ont été nos hommes..
Qui finance l'organisation de ce lecteur?
Beaucoup d'amis à moi pour aider le Soudan et à travers le monde, mais ne peut pas en parler parce que beaucoup sont dans une situation de conflit d'intérêt. Il est difficile de nommer quelqu'un en particulier comme celui qui donne de l'argent ou autre chose, car pour être honnête, il ya aussi une question de la légalité. Déby est au pouvoir, est le président et, si nous disons à nos collègues tri nom qui nous aide, car ils sont dis peraţi de sa faute, à ces gens qui ont un gros problème. Après 20 ans d'oppression, les gens veulent un changement et nous cette occasion. Mais je peux vous dire qui nous aident. Nous croyons en ce que nous faisons.
En gros, comment est votre jour le jour?
Je Voyage beaucoup de détails à ce qui se passe au Tchad, et pourquoi la lutte contre Déby. Je suis plein de tact, mais d'expliquer pourquoi nous n'avons pas d'autre choix que de se battre. Alors que Déby est, il y aura la paix au Tchad. Nous avons d'autres options si il ya une autre option serait la dernière guerre. Je ne les pressions diplomatiques et de conduire des opérations militaires dans le même temps.
Voyez comment l'implication de la France dans le conflit? Le Tchad a maintenant un autre problème: les sociétés qui ont conclu et de faire des affaires là-bas.
En France, nous avons des relations historiques, mais en fait il n'y a pas de relation désintéressée. Je ne pense pas que la France est d'aider Déby dans ce conflit, car il estime qu'un bon leader. Seulement qu'il est obligé de les aider parce que nous ne sommes pas unis, nous avons une vision commune et parce qu'il ya un trop grand nombre de factions rebelles qui ne comprennent pas. La France estime que si les rebelles gagnent la guerre avec Déby sera le chaos dans le pays. Sinon, vous pouvez le voir, quand je suis revenu dans la capitale N'Djamena, l'année dernière, nous ne comprenions pas du tout. Chaque chef a voulu être président, et les autres ministres pour être juste.
Vous pensez que vous serez un jour président du Tchad ?
Je lutte pour cela. C'est pourquoi je donné l'assaut deux fois dans la capitale. Je n 'ai pas peur de Déby. Mon seul problème est avec ceux qui ne me laissent pas d'y aller - comme l'épisode de la prison. Ils m'ont enfermés pour mettre quelqu'un d'autre à la place. Parce que tout ce que je sais très bien qui je suis quand je suis là avec mon peuple, sur le terrain. Tous ceux qui ont essayé jusqu'ici d'être présidents, parmi d'autres chefs rebelles ont échoué. Qui parmi eux est revolutionnaire ? moi J'ai fait un master en geopolitique obtenu à la Sorbonne. Ajouter mon expérience de lutte qui sont essentiels. les études politiques vont de paire avec les actions militaires. J'ai grandi dans une famille royale. C'est pourquoi j'ai toujours été proche des armes. Mes proches étaient tous des officiers. J'ai grandi avec cet esprit de combat.
Vous consentez à ce que une force de paix internationale - qui inclut la Roumanie et militaires - à être installés au Tchad, que le président a demandé à la France?
Moi, personnellement, ne sont pas hostiles à ces idées, de ne pas me déranger. Si vendredi, pour garantir la paix, j'ai vraiment besoin de cette intervention. Nous ne sommes pas seulement pour la guerre, nous recherchons pour installer la paix. Notre objectif est maintenant d'utiliser des armes de mécanisme politique qui ne sont pas respectés, l'alternance politique n'est pas respectée et les droits de l'homme sont violés. Nous utilisons les armes parce qu'il n'y a pas d'autre moyen. Nous sommes obligés de mettre la main sur des armes. Le peuple du Tchad ont longtemps souffert de la guerre. Tchad ne doit pas exister dans une seule famille, qui n'a pas perdu un frère ou une soeur dans un combat.
Arrestation
Selon nos dernières informations, plusieurs cadres politiques et militaires de Soubiane ont décidé à l'unanimité, la poursuite de la lutte armée et réaffirment leur attachement aux objectifs politiques et militaires de la Resistance Nationale. Pour ne pas oublier leurs martyrs, les camarades Bachir Fayig, Ahmat Dourbane, et plusieurs cadres se désolidarisent de leur Chef Ahmat Soubiane, accusé de trahison pour avoir signé un accord de « paix » avec le dictateur Idriss Deby. Soubiane s’est montré un homme sans personnalité devant Deby, ce dernier lui octroyant trois postes : le ministère de l’intérieur, un secrétariat d’état et un poste dans l’armée. Les trois postes ne combleront jamais les vides de nos martyres, et les calvaires des veuves, et nos orphelins.
Les fantoches, lâchement vécus, relégués au rang des traitres, le peuple vous lâchera à la merci du vent du déshonneur qui vous emportera au large et vous laissera mourir sans glas de votre propre mort. Pour nos martyrs, ceux qui ont payé de leur vie pour notre liberté, nous devons sécher nos larmes et stoïquement empêcher à jamais que cette dictature s’épanouira. La liberté n’est pas gratuite’.
Nos martyres et les anonymes sont morts pour avoir refusé la dictature jusqu’à la lie, souhaitons vivement qu’ils fassent des émules salvateurs de notre Patrie. Ces émules survivront en héros et trinqueront ensemble avec le peuple dans l’allégresse retrouvée, dans un Tchad nouveau débarrassé à tout jamais du dictateur sanguinaire. Mais, pour en arriver là, nous devons nous débarrasser des espions comme Soubiane et ses traitres qui ont hypothéqué l’avenir de la Resistance. Même si la misère persistante due à ce régime satanique a étouffé dans l’esprit de certains l’aspiration à la liberté, notre seule perspective salutaire est le départ de la dictature. Son départ et l’instauration de la démocratie dans notre pays vont de pair. Nous ne devons plus attendre, le temps joue contre l’avenir de notre peuple. La stratégie de terreur de ce régime contre nature ne peut tenir en otage indéfiniment notre liberté. N’oublions surtout pas que le mal qui n’est pas vaincu par l’amour succombe au mal.
S’opposer à un régime tel que celui du Tchad, c’est refuser l’arbitraire, l’injustice crue, la soumission. S’opposer à ce régime, c’est rejeter l’irrationnel, l’hégémonie oligarchique. Dire non à ce régime, c’est la recherche d’un Tchad aux tchadiens. C’est dur à comprendre pour certains malheureusement. Une lutte de cette envergure ne peut et ne pourra être confondue aux calculs mesquins des agents commissionnaires du pouvoir. Le mouvement est désormais une poussée de masses. Une obligation salvatrice au prix de sang.
Vive la Resistance Nationale
Un restant à l’Est du Tchad
Annadif-Alghazali
Le banquier d'affaires italo-américain Robert F. Agostinelli aurait bénéficié d'un "traitement de faveur" par la justice française, révélait dimanche 26 juillet Mediapart. L'homme d'affaires, qui avait payé les vacances de Nicolas Sarkozy en 2007 à Wolfeboro, aux Etats-Unis, est accusé d'avoir proféré des menaces de mort mais n'aurait pas été inquiété par les magistrats français.
C'est à la suite de cette agression que Robert Agostinelli aurait menacé Washington. Mediapart publie un message laissé le 26 juillet 2006 sur le répondeur de Washington : "Mon cher ami John, je veux que tu te souviennes de mon nom parce que tu vas t'en souvenir toute ta vie. C'est Robert Agostinelli. Et juste pour ton information, je ne lâche jamais, jamais. Comme le font les coureurs du Mississippi, sache que les chiens de chasse sont derrière toi, et ils sont très en colère, et ils sont infatigables, et ils vont transformer ta vie en une bouffée de fumée. Réfléchis à ce message parce que l'horloge fait 'tic-tac', elle fait 'tic-tac' sur toi". Un second message a été laissé vingt minutes après.
Interrogé comme témoin sur les accusations de menaces par la juge de Draguignan, Robert Agostinelli a confirmé avoir laissé plusieurs messages sur le répondeur de John Washington aux dates indiquées, mais a démenti toute intimidation.
John Washington accuse en fait la justice de ne pas avoir pris en compte ces menaces et s'interroge sur une possible intervention de Nicolas Sarkozy pour balayer les poursuites à l'encontre d'Agostinelli. Mediapart n'apporte en revanche aucune preuve.
Robert Agostinelli est un ami du chef de l'Etat, qui l'avait invité à la soirée du Fouquet's lors de sa victoire en 2007. Son ex-femme, Mathilde Agostinelli, fut le témoin de mariage du couple Sarkozy-Bruni.
(Nouvelobs.com)
« Nous voulons être délivrés. Celui qui donne un coup de pioche veut connaitre un sens à son coup de pioche. Et le coup de pioche du bagnard, qui humilie le bagnard, n’est point le même que le coup de pioche du prospecteur, qui grandit le prospecteur. Le bagne ne réside point là où les coups de pioche sont donnés… » ANTOINE de Saint-Exupéry, in TERRE DES HOMMES.